6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
1 qu’elles choisissent d’ailleurs à cette fin. Même René Nelli se laisse aller à écrire que les troubadours « attendaient que l’Amou
2 ormer une forte minorité de leur cohorte, mais si René Nelli a choisi ces 43 là, c’est qu’il les estimait à la fois les meilleurs
3 lences à mes yeux signifiants : Henri Davenson et René Nelli . Voici comment le professeur Henri I. Marrou (c’est le vrai nom de Da
4 chantent la Mort. C’est dans le grand ouvrage de René Nelli sur L’Érotique des troubadours (1963) que l’on puisera les éléments d
5 n de femmes hérétiques ». Cette histoire, conclut René Nelli , « montre clairement que nul ne trouvait extraordinaire dans la bonne
6 lication de mon livre, c’est dans les ouvrages de René Nelli consacrés tantôt au catharisme233 et tantôt aux troubadours234 que j’
7 tre troubadours et cathares » (Op. cit., p. 144), René Nelli rappelle non seulement le fait que je soulignais d’entrée de jeu : qu
8 ore les « documents » exigés, je trouve ceci chez René Nelli — outre l’épisode que je viens de citer de la Vida de R. Jordan : Le
9 . Mais à propos de Flamenca, précisément, on voit René Nelli amorcer une prudente retraite par rapport à ses premiers textes sur l
10 re moins à démontrer inexistante. Elle s’impose à René Nelli dès qu’il considère en poète la situation du Midi au xiie siècle, ma
11 n comme par Davenson, R. Pernoud, etc. Toutefois, René Nelli , à propos de Durfort précisément, et de quelques autres présumés cath
12 ur un point très technique mais pour moi décisif, René Nelli apporte une importante contribution : je veux parler de l’asag, ou as
13 d le désir trouve son rassasiement. En revanche, René Nelli , au lieu de faire de l’indignation morale, cherche à comprendre la na
14 e excités — devenait une force bénéfique », écrit René Nelli , qui ajoute en note, avec un point d’interrogation qui est bien dans
15 ur la mise en réserve du principe vital sexuel », René Nelli écrit : « La déposition de Guillaume Roux dans le Liber sententiarum
16 ts entièrement sur ce chapitre les conclusions de René Nelli  —, ne pouvaient guère manquer d’entrer en symbiose dans maints domain
17 e aimable et hypocrite dépravation. Ainsi écrit René Nelli (E. T., p. 100). À ces lignes, dont on peut retenir que Robert pratiq
18 ed sectam suam dicunt esse Mariam virginem », cf. René Nelli , Érotique des troubadours, Toulouse, 1963, p. 222-223. Voir aussi dan
19 Oc », Cahiers du Sud, Marseille, 1943, article de René Nelli sur « L’Amour Provençal », p. 66. 227. Bleheri, barde breton, vit et
20 , selon Jeanroy, « un personnage inconnu »… 231. René Nelli et René Lavaud, Les Troubadours, Tome II, p. 261. 232. Érotique des
21 rsus du tropaire de Saint-Martial : 242. Cf. René Nelli , L’Érotique des troubadours, p. 50, qui cite plusieurs autres exemple