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qu’elles choisissent d’ailleurs à cette fin. Même
René Nelli
se laisse aller à écrire que les troubadours « attendaient que l’Amou
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ormer une forte minorité de leur cohorte, mais si
René Nelli
a choisi ces 43 là, c’est qu’il les estimait à la fois les meilleurs
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lences à mes yeux signifiants : Henri Davenson et
René Nelli
. Voici comment le professeur Henri I. Marrou (c’est le vrai nom de Da
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chantent la Mort. C’est dans le grand ouvrage de
René Nelli
sur L’Érotique des troubadours (1963) que l’on puisera les éléments d
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n de femmes hérétiques ». Cette histoire, conclut
René Nelli
, « montre clairement que nul ne trouvait extraordinaire dans la bonne
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lication de mon livre, c’est dans les ouvrages de
René Nelli
consacrés tantôt au catharisme233 et tantôt aux troubadours234 que j’
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tre troubadours et cathares » (Op. cit., p. 144),
René Nelli
rappelle non seulement le fait que je soulignais d’entrée de jeu : qu
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ore les « documents » exigés, je trouve ceci chez
René Nelli
— outre l’épisode que je viens de citer de la Vida de R. Jordan : Le
9
. Mais à propos de Flamenca, précisément, on voit
René Nelli
amorcer une prudente retraite par rapport à ses premiers textes sur l
10
re moins à démontrer inexistante. Elle s’impose à
René Nelli
dès qu’il considère en poète la situation du Midi au xiie siècle, ma
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n comme par Davenson, R. Pernoud, etc. Toutefois,
René Nelli
, à propos de Durfort précisément, et de quelques autres présumés cath
12
ur un point très technique mais pour moi décisif,
René Nelli
apporte une importante contribution : je veux parler de l’asag, ou as
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d le désir trouve son rassasiement. En revanche,
René Nelli
, au lieu de faire de l’indignation morale, cherche à comprendre la na
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e excités — devenait une force bénéfique », écrit
René Nelli
, qui ajoute en note, avec un point d’interrogation qui est bien dans
15
ur la mise en réserve du principe vital sexuel »,
René Nelli
écrit : « La déposition de Guillaume Roux dans le Liber sententiarum
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ts entièrement sur ce chapitre les conclusions de
René Nelli
—, ne pouvaient guère manquer d’entrer en symbiose dans maints domain
17
e aimable et hypocrite dépravation. Ainsi écrit
René Nelli
(E. T., p. 100). À ces lignes, dont on peut retenir que Robert pratiq
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ed sectam suam dicunt esse Mariam virginem », cf.
René Nelli
, Érotique des troubadours, Toulouse, 1963, p. 222-223. Voir aussi dan
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Oc », Cahiers du Sud, Marseille, 1943, article de
René Nelli
sur « L’Amour Provençal », p. 66. 227. Bleheri, barde breton, vit et
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, selon Jeanroy, « un personnage inconnu »… 231.
René Nelli
et René Lavaud, Les Troubadours, Tome II, p. 261. 232. Érotique des
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rsus du tropaire de Saint-Martial : 242. Cf.
René Nelli
, L’Érotique des troubadours, p. 50, qui cite plusieurs autres exemple